©Virginie Burgos |
Sète s'alanguissait sous le soleil de plomb et les amateurs de photographies cherchaient les terrasses à l'ombre et la lumière douce des platanes puis prolongeaient leur visite dans la chapelle obscure, les chais tamisés, le collège nostalgique où les avaient attirés Images Singulières, l'extraordinaire découverte du Voyage dans l'Empire russe de Sergueï Procoudine-Gorsky, la puissance mystérieuse de Gaston Paris, la vision de Sète de Richard Dumas, l'enfermement paradoxal du Waiting Game de Txema Salvans.
©Virginie Burgos |
©Virginie Burgos |
Dans le jardin de l'ancienne fonderie connue aussi comme "La Passerelle", devenu l'atelier de Christina Rabaste, les visiteurs s'émerveillaient.
©Virginie Burgos |
Devant le lieu d'abord, inattendu avec ses jeux d'ombre et de lumière, ses grands volumes couverts et ses trouées vers le ciel, les tons de bois et d'acier, le rosier tout en haut de l'escalier de fer.
©Virginie Burgos |
Devant les oeuvres de Christina, grandes toiles, sculptures, bois flottés, visages d'icônes aux yeux allongés, personnages malicieux dressés sur des bouts de bois, profusion des couleurs.
©Virginie Burgos |
©Rodolfo Almeida |
Devant les photographies présentées en marge d'Images Singulières par Isabelle Albert, Rodolfo Almeida, Virginie Burgos, Ophelia Grangeon, Françoise Martin, Isabelle Secretan et Armand Trabuc.
Comme une invitation à un festival off dont ce lieu magique pourrait devenir le berceau.
©Isabelle Secretan
©Virginie Burgos
L'orage est arrivé vendredi après-midi. les toiles ont retrouvé l'abri de l'atelier, mêlées aux photos, aux sculptures de Nathalie Dumas, sous le regard étrange du pochoir de Ose.
©Isabelle Secretan
Aujourd'hui c'est le dernier jour. Il fait gris et frais. Les chais seront impavides sous leurs toits allongés. Les feuillages joueront dans l'atelier de Christina et le gris se teintera des chaudes couleurs du monde qu'elle a créé.
©Virginie Burgos |
©Rodolfo Almeida |
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